Je pars en vacances samedi. L'avion part à midi, je crois.

Je ne sais pas comment je vais réussir à ranger mon bureau et finir mes travaux en cours, ranger la maison, faire le ménage (pour être tranquille en rentrant), repasser pour pouvoir préparer les valises. D'après mes calculs, il faudrait que je ne dorme pas les deux prochaines nuits, ce qui voudrait dire que je passerais les trois premiers jours de vacances à récupérer. Pas très rentable sur sept jours de vacances.

Pour profiter de ses vacances, il ne faut pas partir fatigué. Sinon il vaut mieux rester chez soi.

Bon, je vais aller repasser en regardant Oz. (Je préfère poster les billets très tôt que très tard, j'ai l'impression de prendre de l'avance. J'ai triché sur l'heure du précédent billet pour qu'il soit publié en date du quatre. En réalité je viens juste de le terminer). Et oui, j'ai déjà dormi, couché à neuf et demi ce soir, et si tout va bien je me recouche à quatre. Je vais être fraîche pour boire du Sauvignon à midi. (Cela n'est pas le moindre défaut du manque de sommeil: une furieuse envie de boire pour oublier tout ce qui ne m'intéresse pas, l'impossibilité de boire sous peine de dormir comme une bûche).

Et ne me dites pas que ce n'est pas raisonnable: je le sais, je crois même que cela m'amuse, sinon je ne l'écrirais pas ici, n'est-ce pas. (Mais pas si sûr, il y a aussi le côté défouloir du blog).