Dernière semaine dans mon poste actuel, je viens de réaliser qu'elle ne va comprendre que quatre jours: le temps de boucler les échéances habituelles, à peine le temps de me pencher sur un document que j'ai eu la folie de proposer de préparer pour lundi en huit, dans un domaine que je ne connais qu'en théorie, une théorie étudiée il y a vingt ans.

Aucune nostalgie, aucun regret. Etrange de ressentir à ce point le désir de partir. La seule chose qui me manquera sera mon scanner.