Je n'aime pas que les couloirs du métro sentent la jacynthe (parfum entêtant de ces bulbes qu'on ramenait de l'école primaire pour les faire fleurir à la maison, première annonce du printemps) ou la pomme verte (pour toujours associée à l'odeur du shampooing dans les vestiaires après les sorties sur la Loire quand j'avais quatorze ans).

J'aimerais comprendre pourquoi l'anorak de l'homme devant moi dans le RER hier soir sentait le Canard WC.