Je me souviens qu'en février ou mars 1995, devant présenter un exposé sur Paul Ricœur auquel j'accordais une grande importance, je me réveillai avec une extinction de voix. Une amie lut l'exposé à ma place. (Le même jour j'avais rendez-vous entre deux avions avec une autre amie qui repartait à Tahiti. L'échange fut limité.)