Magnifique Andromaque cette après-midi, avec une mention spéciale à Léonie Simaga en Hermione.
Je ne me rends pas exactement compte de la part qui reveint à la mise en scène, à l'interprétation ou au texte, mais il s'agit bien plus des tourments d'Hermione déchirée entre son amour et son amour-propre que de ceux d'Andromaque entre l'amour pour son fils et sa fidélité à Hector.

Fils d'Achille, fils d'Agamemnon, fille d'Hélène, tous disparaîtront, dans la mort ou la folie. Il ne restera, ô paradoxe, que le fils d'Hector.