Quand je lis par-dessus l'épaule de mon voisin «X., 57 ans, quatre enfants, s'est immolé par le feu devant son ancienne agence Telecom», je n'ai pas du tout envie de compatir.

J'ai envie de lui donner deux claques ou trois. Ça me met en rogne. On ne se suicide pas à 57 ans avec quatre enfants quand on travaille chez France Telecom. Au mieux ou au pire on fait la grève de la faim dans le bureau de la DRH (Direction des Ressources Humaines). Mais qu'est-ce que c'est que ces histoires ?