Peinture encore à midi. Puis apéro.

Je n'aurais peut-être pas dû raconter qu'à une époque de grande fatigue j'allais dormir dans les armoires (1996). Ils ont fait une drôle de tête.
Personne ne se rend compte du peu de place que prend un corps humain; oui, nous tenons dans les armoires à dossiers, il suffit de s'y asseoir, et de dormir (il y avait des rangées d'armoires vides à mon étage, en attente d'affectation).

— Et personne ne te cherchait ?
— Tu sais, dix minutes, c'est rien, si ça dure réellement dix minutes. Tu passes plus de temps à la machine à café ou à sortir fumer.