Journée de flâneries (la mer, le tramway, Sébastien, Henri le navigateur qui n'a peut-être jamais navigué, la numérotation des rois d'Espagne et du Portugal, les statues de gens que je ne connais pas) et surtout d'un temps incroyablement long (quatre heures?) passé à table à discuter à partir de RB par RB (beaucoup digressé, malgré tout).

Les skiffs sur le Douro, très beau fleuve, si étal, donnent envie de ramer, là, tout de suite.

Je n'ai pas les bonnes chaussures. La ville peut se faire incroyablement abrupte. Beaucoup d'immeubles sont très abîmés, mais le carrelage reste bleu. Nous avons tant discuté que les églises sont fermées. Vers le soir avec la nuit qui tombe, coup de blues.



En rentrant, un mail me sert le cœur.