Grand plaisir durant ce film — et frustration.

Que des gros plans, pas de recul, une difficulté pour se situer dans l'espace pour le spectateur, pas de noms (sauf durant le générique, mais alors en vrac), pas de point de repère.
Oui, une frustration à la mesure de la joie éprouvée, de l'étonnement devant les chanteurs, les drôles de bricoleurs, les kilomètres de couloir, les micros, etc.


Le matin, j'étaits passé au Virgin (ouvert avant huit heures à la sortie du RER de la Défense) pour acheter le Coran dont j'ai découvert hier soir que j'en avais besoin demain pour le TG sur l'islam. Je choisis la traduction de Malek Chebel parce que la prof nous a dit de préférer les traductions faites par des musulmans.
A la caisse, je prends le dernier Emmanuel Todd et hervé Le Bras parce qu'il contient beaucoup de cartes de la France. Etonnant, à ce que je comprends en lisant la presse, cela semble un hommage aux valeurs du catholicisme enracinées au plus profond des consciences.

A la librairie de l'église de La Défense j'achète Un huluberlu dégingandé et une demi-portion parce qu'il dégage une énergie communicative. Pourtant il ne s'agit pas d'un sujet facile: le handicap moteur cérébral.