DVD et vidéos
- 1er janvier - Robert Schwentke, Red, 2010; Dean Parisot, Red 2, 2013; Asger Leth, Dos au mur, 2012. Je recommande les deux premiers pour une soirée tranquille avec le sourire.

- 2 janvier - Norah Ephron, Michael, 1996 - Comment dire? c'est nul et plaisant, avec de beaux paysages de l'Iowa (c'est vide).

- 3 janvier - Louis Leterrier, Insaisissables, 2013 (que je n'avais pas beaucoup aimé, mais A. voulait le montrer à I.); David Barrett, Fire with fire, 2012 (un Bruce Willis sans Bruce Willis — et sans intérêt) et Billy Wilder, la Scandaleuse de Berlin, 1948.

- 5 janvier - Paul Greengrass, La Vengeance dans la peau, 2007, pour faire plaisir à O. puis Robert Zemeckis, La mort vous va si bien, 1992, associés à des souvenirs précis (dont l'achat du manteau dont j'ai parlé ici).

- 10 janvier - Christian Petzold, Barbara, 2012.

- 11 janvier - Tim Burton, Sleepy Hollow, 1999. Avec O. qui l'a reçu à Noël. Je ne me souvenais plus qu'il y avait autant de morts, mais c'est après ce film que j'ai arrêté d'aller voir les Burton. La vierge de Nuremberg hante encore mes cauchemars.

- 12 janvier - les frères Taviani, César doit mourir, 2012. Fiction et "réalité" étroitement nappées.

- 17 janvier - Pascal Thomas, Le crime est notre affaire, 2008. Mauvais, dommage, j'aime bcp Frot. Mais mauvais.

- 26 janvier - Dean Parisot, Red 2, pour la deuxième fois, mais pour la bonne cause.

- 29 janvier - Margarethe von Trotta, Rosenstrasse, 2003. Les salauds ou les héros, quel autre choix pour filmer ce thème?

- 1 février - Woody Allen, Manhattan. Une amie était fan de ce film à 17 ans, je ne l'avais jamais vu. Qu'est-ce que ça parle. Qu'en aurais-je pensé à 17 ans?

- 15 février - Alexander Payne, Monsieur Schmidt, 2003. Ce film entre dans la catégorie des films, souvent américains, destinés à nous faire accepter et aimer nos vies médiocres et inutiles. Donc film sans doute pas inutile, mais qui me donne envie de ricaner avec cynisme.
Kevin Macdonald, Le dernier roi d'Ecosse, 2006. Pas mal du tout. James McAvoy très séduisant avec ses yeux trop bleus. L'Afrique envoûtante et repoussante.

- 16 février - Gérard Krawczyk, Wasabi, 2001. Un film vu et revu, du nawak pour se détendre.

- 2 mars - Neil Burger, Limitless, 2011. Pour essayer de me remotiver. Couture, bouton, accroc, etc.

- 8 mars - Costa-Gavras, Le couperet, 2005.

- 10 mars - les frères Taviani, Kaos. Tellement simple et poignant. Cette âpreté de la vie et des paysages, cette façon d'accepter d'être broyé par la vie pour tirer sa dignité de cette façon d'accepter.

- 12 mars - Wes Anderson, Bottle Rocket, 1996. Ennuyant. Où l'on comprend comment devient un bon cinéaste: en étant d'abord médiocre, puis en s'améliorant.

- 21 mars - Gregory Hoblit, La Faille, 2007. Bon polar psychologique. Avec Anthony Hopkins et Ryan Gosling.

- 6 avril - Soren Sveistrup, fin de Killing, 2011, regardé sur plusieurs soirées.

- 18 avril - fin de la saison 2 de Killing. J'ai l'impression que le réalisateur a beaucoup regardé 24 heures chrono: accumulation de situations qui fait qu'on ne sait plus exactement si tout est cohérent. Noyade interne.

- 20 avril - Joon-ho Bong, Snowpiercer, 2013. Pour le montrer à H. Mais cela ne lui plaît pas. Je ne comprends pas, cela ressemble tant à ce qu'il regarde.

- 21 avril - Martin Brest, Le temps d'un week-end, 1992. Al Pacino en aveugle.

- 26 avril - David Simons, Ed Burns, deux premiers épisodes de The Wire, 2002.

- 8 mai - Commencé à regarder Black Mirror.

- 1 juin - Eli Craig, Tucker & Dale fightent le mal. De retour du mariage d'Alexis. O. le voit pour la première fois.

- 30 juin - Ettore Scola, Le Bal, 1984. Un peu déçue par rapport à mes souvenirs. Je me suis aperçue en cherchant les sous-titres que c'est un film muet.

- 10 juillet - Martin Campbell, Casino royal puis Quantum of solace en bloguant. Je me suis endormie devant pour me réveiller vers quatre heures du matin sur le canapé.

- 28 juillet - Gérard Oury, Le Cerveau, 1969. Paris en 1969, les voitures de 1969.

- 29 juillet - Brad Bird, Protocole fantôme, 2011. Une envie venue d'un extrait vu l'après-midi à la Fnac (revoir Dubaï).

- 30 juillet - J. Lee Thompson, Les Canons de Navarone, 1961. La Grèce, Grégory Peck et la responsabilité de celui qui dirige.

- 4 août - Philippe de Broca, Le Diable par la queue, 1969. Tous les cinq (rare).

- 6 août - Gilles Grangier, Le Cave se rebiffe, 1961. Tous les cinq, bis.

- 8 août - John McTiernan, Basic, 2003. Pour le montrer aux garçons.

- 8 août - Alfred Hitchcock, Fenêtre sur cour, 1954. Avec A. qui ne l'avait jamais vu en entier.

- 10 août - Duncan Jones, Source Code, 2011. Vieilles ficelles mais pas désagréable.

- 10 août - Paul Feig, Les Flingueuses, 2013. Drôle. Là aussi vieilles recettes. En cousant une pièce au pantalon de C.

- 12 août - Neil Burger, Limitless, 2011. En bloguant, je le connais par cœur. Aussi pour comparer aver Lucy: ici l'idée d'utiliser ses capacités cérébrales à fond est traitée d'une façon crédible qui donne envie de tenter l'expérience.

- 14 août - Robert Zemeckis, Qui a peur de Roger Rabbit, 1988. En fait je ne supporte pas ce film, il est trop imprévisible.

- 15 août - Anne Fletcher, La proposition, 2009. Ça détend.

- 16 août - Donald Petrie, Miss Detective, 2000, suivie de Miss FBI de John Pasquin en 2005. Le deuxième plus faible que le premier.

- 17 août - Seth Gordon, Comment tuer son boss, 2011. Gentil mais bof. Nous parvenons à la conclusion que quelle que soit la catégorie, nous avons sans doute vu les meilleurs films.

- 19 août - Lewis Gilbert, On ne vit que deux fois, 1964, avec O. qui rit devant un tel étalage de clichés sur le Japon («En 1964, ce n'était peut-être pas des clichés… Peut-être que ce film a répandu les clichés.» (comment savoir?)).

- 21 août - Georges Lautner, Ne nous fâchons pas, 1966, pour C. qui ne l'a jamais vu. A. fait la tête quelque part dans la maison.

- 23 août - Fred Schepisi, Six degrés de séparation, 1993 - Un film très étonnant, un charme vénéneux qui laisse désemparé. Will Smith merveilleux.

- 24 août - Georges Lautner, Est-ce bien raisonnable?, 1981, gentil. Pour l'affolante jeunesse de Lanvin et Miou-Miou.

- 2 septembre - David Lynch, Twin Peak, épisode pilote.

- 13 septembre - Rainer Werner Fassbinder, Berlin Alexanderplatz, épisode 1. En cousant des badges sur la chemise scoute d'Olivier.

- 14 septembre - David Lynch, Twin Peak, épisode 1.

- 20 septembre - Twin Peak, 2.

- 24 septembre - Twin Peak, 3.

- 28 septembre - Twin Peak, 4 et 5. Seule, Hervé abandonne.

- 30 septembre - Twin Peak, 6 et 7. Je me dis qu'à la fin de la série, vu le nombre d'incendies et d'assassinats, Twin Peaks sera rayé de la carte.

- 1 octobre - Twin Peak, 8 (1 saison 2).

- 3 octobre - Twin Peak, 9 (2 saison 2).

- 10 octobre - Twin Peak, 10 (saison 2).

- 11 octobre - Twin Peak, 11, 12 (saison 2).

- 12 octobre - Twin Peak, 13, 14, 15 (saison 2).

- 22 octobre - Twin Peak, 16 (saison 2).

- 20 novembre - Steven Spielberg, La guerre des mondes, 2005. Saisissant. Très beau visuellement.

- 20 novembre - Twin Peak, 17, 18, 19 (saison 2).

- 21 novembre - Twin Peak, 20, 21 (saison 2).

- 22 novembre - Roger Michell, Week-end royal, 2013.

- 23 novembre - Twin Peak, 22 (saison 2).

- 29 novembre - Twin Peak, 23 à 27 (saison 2).

- 7 décembre - Claude Chabrol, Les fantômes du chapelier, 1982.

- 7 décembre - Wim Wenders, Don't come knocking, 2006. Superbe bande-son.

- 20 décembre - Star Treck, saison 1, disque 2, "L'imposteur"

- 27 décembre - Rich Moore, Les mondes de Ralph, 2013.

- 27 décembre - Phil Lord, La grande aventure Lego, 2014.





au cinéma
- 2 février à Yerres - Hayao Miyazaki, Le vent se lève, 2013. Romantique.

- 10 février à Yerres - Jean-Marie et Arnaud Larrieu, L'amour est un crime parfait, 2014. Cela pourrait le Shame français, mais avec l'incapacité de traiter le sujet de façon austère: toujours le côté un peu kitsch, un peu théâtral, un peu psy, des scénarios français, comme si on avait peur d'être dépouillé, aride. Mais bien, malgré tout. Marion Duval magnifique dans les premières minutes.

- 18 février - Lionel Baier, Les Grandes Ondes (à l'ouest), 2014. Bien, très bien même, dans le genre loufoque.

- 24 février - Pawel Pawlikowski, Ida, 2014. Intense et épuré.

- 26 février - Wes Anderson, The Grand Hotel Budapest, 2014 avec Patrick. Beau et amusant, réjouissant.

- 1 mars - Wes Andersen, The Grand Hotel Budapest, 2014 avec H. et O. Le même plaisir, en ayant le temps de regarder davantage.

- 8 mars - Jim Jarmush, Only Lovers Left Alive. Jarmush creuse ses sillons. Musique et errance. Baroque, précieux, étouffant. Et puis des annonces prophétiques: «La guerre de l'eau a commencé ou ils en sont encore au pétrole?… Detroit revivra, il y a de l'eau, ici.» Un film en colère, beau et sombre. La bande son est de toute beauté.

- 9 mars à Yerres - John Wells, Un été à Osage County. Comme si on avait concentré tous les secrets de famille en un seul film: ça fait beaucoup.

- 15 mars - Jean-Marc Vallée, Dallas Buyers Club, 2014. J'y allais en grande parti pour McConaughey qui m'avait beaucoup plu dans La Défense Lincoln: Dieu ce qu'il a maigri! Le film est bien, il m'a replongée dans l'angoisse diffuse (diffuse car j'étais loin de tout cela, tout en sachant qu'un ami du jour au lendemain pouvait être séropositif) de ces années-là, quand on comprenait mal ce qui se passait et comment lutter. (Pensé à Reagan, aussi, son silence et son inaction).

- 19 mars à Yerres - George Clooney, Monuments Men, 2014. Mauvais. A peine un film.

- 29 mars - Jeffrey Schwarz, I am Divine, 2014. Un documentaire réalisé avec soin. Interview d'amis, de parents, images d'archives. Beaucoup de tendresse et d'affection qui éclairent en nuance la timidité et l'extravagance d'un homme qui voulait tant être une grande vedette du cinéma.

- 30 mars à Montgeron - John Lee Hancock, Dans l'ombre de Mary, 2014.

- 5 avril - Jean-Marc Vallée, Dallas Buyers Club, 2014. Avec Hervé.

- 9 avril - John Turturro, Apprenti gigolo, 2013.

- 10 avril - Alexander Payne, Nebraska, 2013.

- 12 avril à Yerres - Anthony et Joe Russo, Capitaine América, 2014. Pas mal, moins pire que je craignais.

- 14 avril - Marguerite Duras, Nathalie Granger, 1972. Pffff…

- 15 avril - Hiner Saleem, My Sweet Pepper Land, 2013. Un western musulman, sur les frontières orientales de l'Europe.

- 16 avril - Steve McQueen, 12 Years a Slave, 2013. Avec O.

- 17 avril - Cécile Telerman, Les yeux jaunes des crocodiles, 2014.

- 19 avril à Montgeron - Jean-Stéphane Bron, L'expérience Blochet, 2014.

- 21 avril - John Turturro, Apprenti gigolo, avec H. et C. dans une petite salle à Créteil.

- 22 avril - Xavier Dolan, Tom à la ferme. Homophobie et symdrome de Stockolm

- 25 avril - Camille Delamarre, Brick Mansions, 2014. Pour amateur de cascades et de corps à corps, indifférent au scénario. (Et dans ce cas, très bien)

- 17 mai - Mathieu Amalric, La chambre bleue, 2014. Montage progressif très intéressant. Belles images de nu.

- 21 mai - Rachid Bouchareb, La Voie de l'ennemi, 2014. Nul. (vu un peu par hasard, le film que je voulais voir avait commencé).

- 13 juin - Jean-Pierre et Luc Dardenne, Deux jours, une nuit, 2014. Pas trop mon genre, mais bien pensé, sur le courage de vivre, les choix (garder une prime pour nourrir son bébé ou pour refaire sa terrasse, c'est le même geste mais pas le même choix).

- 17 juin - Diao Yi'nan, Black Coal. J'ai pensé aux films noirs américains des années 40, tourné avec l'âpreté d'aujourd'hui.

- 18 juin - Panos H. Koutras, Xénia. J'aurais aimé dire beaucoup de bien de ce film attachant, mais il devient vraiment trop n'importe quoi. Pour amateur d'Eurovision.

- 30 juin à Yerres - Philippe de Chauveron, Qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu?, 2014. On m'en avait des compliments avec raison. Les préjugés racistes sont systématiquement abordés. Plus intéressant encore, je trouve, la différence entre les femmes, qui vont faire le nécessaire pour que leurs enfants soient heureux à leur façon, même si ce n'est pas ce qu'elles auraient souhaité, et les hommes, qui veulent absolument que les choses se passent comme ils l'ont décidé. Finalement, c'est l'universalité de l'autoritarisme des chefs de famille qui est mise en scène, au-delà des couleurs et des religions.

- 1 juillet - Clint Eastwood, Jersey Boys, 2014. Des longueurs. Il faut venir avec sa propre nostalgie, ses propres souvenirs, pour voir à travers ce film la naissance du rock'n roll etc.

- 2 juillet à Yerres - Hossein Amini, The two Faces of January, 2014. Bien. Son défaut serait d'être trop classique, comme un exercice hitchcockien adroitement exécuté.

- 8 juillet à Yerres - Doug Liman, Edge of Tomorrow,2014. Beaucoup aimé le montage, les expressions de Tom Cruise, la façon dont il tombe amoureux. Exactement ce dont j'avais envie, une bluette musclée. Cerise sur le gâteau, Cruise est pour ainsi dire immortel à la fin du film (même si cela n'est guère souligné). Revu le 9, me donnant l'impression du temps en boucle décrit dans le film (et encore le 11, avec H. cette fois-ci).

- 29 juillet - Philippe de Chauveron, Qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu? avec H. et C.

- 2 août - Charlie Siskel et John Maloof, A la recherche de Vivian Maier, 2014. Un film qui vous remue. Une envie de voir ses photos en sortant. (Vu deux fois, une fois seule le matin, une fois avec H. l'après-midi).

- 3 août - Alfred Hitchcock, La mort aux trousses, 1959. Sortie à cinq.

- 5 août - Jonathan Glazer, Under the skin, 2014. Plus jamais ça.

- 9 août - Luc Besson, Lucy, 2014. Dispensable. Deux nanars pour Scarlett Johansson, pas dans le même genre. (Sortie à cinq).

- 13 août - James Gunn, Les gardiens de la galaxie, 2014. Recommandé, très beau et amusant. (Sortie à cinq).

- 16 août - Charlie Siskel et John Maloof, A la recherche de Vivian Maier, 2014. Pour la troisième fois, cette fois-ci tous ensemble.

- 22 août, Nuri Bilge Ceylan, Winter Sleep, 2013. Je n'oserai pas dire ailleurs qu'ici (un peu planquée) que cela m'a rappelé le mécanisme implacable de nos disputes.

- 24 août - Patrick Hughes, Expendables 3, 2014. Entre amis. Verrons-nous dans trente ans les "jeunes" faire la suite en tant que "vieux"? Ce serait bien. Belle histoire d'amitié et d'estime, à l'écran certes, mais surtout derrière.

- 25 août - James Gunn, Les gardiens de la galaxie, 2014. En VF, à la Défense. Je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça, c'était inutile.

- 8 septembre - Jeremy Saulnier, Blue Ruin, 2013. Je ne sais qu'en penser. C'est à la fois bien et déjà vu si souvent. ni décevant ni enthousiamant.

- 12 septembre - John MacTiernan, A la poursuite d'Octobre rouge à la cinémathèque avec H. et A. qui le voit pour la première fois. Copie très sombre.

- 15 septembre - Thomas Lilti, Hippocrate, 2014. Déçue par rapport à ce que j'avais lu dans les critiques de spectateurs. Tend vers le niais. Reda Kateb à suivre.

- 19 septembre - Sergio Leone, Le bon, la brute et le truand. Pour l'anniversaire d'O.

- 23 septembre - Matthew Warchus, Pride. Le pendant anglais et quasi optimiste de Dallas Buyers Club.

- 1 octobre - Andrei Zvyagintsev, Leviathan. Job. Pourquoi Dieu protègent-ils les méchants?

- 5 octobre, Alexandre Aja, Horns, fantastique adolescent.

- 7 octobre, Hans Petter Moland, Refroidis, joyeux et sinistre.

- 20 octobre, David Fincher, Gone Girl, 2014. Haletant jusqu'aux deux tiers, puis je ne me suis plus vraiment sentie concernée par ce jeu de séduction délétère. Du sado-masochisme psychologique.

- 25 octobre, Éric Toledano et Olivier Nakache, Samba, 2014. Ça ne casse pas trois pattes à un canard. Gentil, mais aussi effrayant si l'on n'en considère que l'aspect documentaire.

- 19 novembre, Andrzej Wajda, L'homme du peuple, 2014.

- 26 novembre, Michaël R. Roskam, Quand vient la nuit, 2014. J'y suis allé parce que j'avais aimé Bullhead. J'aime également celui-ci, sa sobriété, sa timidité, sa brutalité souterraine.

- 31 décembre, Cédric Jimenez, La French. Pour les assiettes et le papier peint. Sinon, trop long mais sympathique. On se dit avec une pointe de regrets qu'il existe une poignée d'acteurs français qu'on verrait bien jouer plus souvent.