Le financement frauduleux des partis politiques, c'est un peu comme le dopage: tout le monde sait qu'il y en a, mais malheur à qui se fait prendre.

Les faits: les épreuves sont telles qu'elles seraient inaccomplissables sans dopage; les sommes nécessaires à une campagne telles qu'elles seraient irrassemblables en respectant la loi.

Arrêter de légiférer et laisser faire ?
Le problème : les athlètes meurent à quarante ou cinquante ans, ce n'est plus une compétition de sportifs mais de pharmaciens; les décisions politiques ne sont plus fonction de l'intérêt général mais fonction des financeurs de campagne, les partis "libéraux" (économiquement) sont naturellement, de par leurs convictions, favorisés.

Solutions ? Pistes à explorer ?