Ecrit les 29, 30, 28 juillet. Ça n'a l'air de rien, mais avec les diversions FB et le petit déjeuner à prendre en famille, ça m'a pris la matinée.

Calcul de cote Argus et autres comparatifs, panique pour retrouver les justifs demandés pour le prêt (ah oui, c'est vrai, plus d'avis d'imposition, j'ai désormais tout sur internet. Ah zut, la facture d'eau est annuelle, trop vieille, et m***, quel le mot de passe pour le site EDF? Et l'imprimante qu'imprime pas… pourquoi imprimer d'ailleurs, l'intérêt ne devrait-il pas être de tout faire transiter par mail?)
Bref, Coccinelle décapotable noire (très salissant paraît-il, je m'imagine bien en train de la passer à la peau de chamois tous les week-ends…) livrée entre le 28 septembre et le 28 octobre. Dommage, j'aurais bien aimé l'avoir pour le 21.

Under the skin suite à l'enthousiasme d'Emmanuel. Tellement sonnés (film noir au sens littéral (mal aux yeux et à la tête) épouvantablement long. Belles images de mer et de fondrières (ça représente une minute de film). Le plus intéressant est la musique — insupportable mais intéressante)) par l'ennui et le sérieux de ce film que nous dînons sur place en terrasse au Saint Eustache, le temps de se réhabituer à la lumière.
Désormais je saurai interpréter le silence gêné de mes amis cinéphiles. (J'avais été surprise de l'absence de commentaire ce soir-là, eux habituellement si diserts.)