Après l'échec d'hier, repassé à la bibliothèque (ça n'a l'air de rien dit comme ça, mais c'est compliqué en l'absence de la correspondance ligne 1-ligne 12 à Concorde. Ligne 6 à Charles de Gaulle puis 12 à Pasteur).

Le Marcel Gauchet et Karl Jaspers de Ricœur en accès libre est emprunté, celui de la réserve est introuvable, sans doute mal classé. Je repars avec de quoi m'occuper malgré tout (vu la vitesse désespérante à laquelle je lis):
- Ricœur et Changeux, La nature et la règle,
- Pierre Gibert, Une théorie de la légende (sur Gunkel),
- Auguste Diès, Autour de Platon, encore. Mais cette fois-ci j'espère bien le finir.
A rendre le 21 septembre : l'année prochaine les cours reprennent plus tard.

Vélib. Jardin Tino Rossi, de Bastille à gare de Lyon, sur les bords de Seine, le plus heureux des jardins dès qu'il fait beau.
Je remarque une fille en robe orange à fines bretelles qui marche devant moi. Plus tard (ai-je fait un détour? Comment se fait-il qu'elle m'ait devancée? Ou était-elle à vélo? Je ne me souviens de rien. J'ai de nombreuses absences en ce moment, ça m'inquiète un peu) je la vois embrasser un garçon et se diriger vers un ruban de chantier entre deux arbres.
Ce n'était pas un ruban de chantier. C'était un fil.