Une semaine passée à pas grand chose : une heure de grec, une heure et demie d'aviron par jour (ce qui fait quatre heures, le temps d'y aller, de revenir et celui de sortir et ranger le matériel. J'ai inscrit O. a un stage de cinq jours pour le sortir un peu (l'oxygéner et le renforcer, il souffre des mêmes faiblesses respiratoires que moi) et lui permettre d'accumuler les kilomètres (soixante par jour) pour sa conduite accompagnée.
Un peu de travaux ménagers, mais si peu et si banaux banals que je ne vais pas en parler.

L'atmosphère se durcit. Quand j'organise les vacances, elles sont qualifiées de "peu reposantes", quand je ne les organise pas, nous ne faisons rien (enfin, je trouve à m'occuper…) et "c'est pas des vacances".

(Reconnaissons malgré tout que ce stage d'aviron est un handicap : nous partons à cinq heures et rentrons à neuf, impossible d'organiser une visite de musée ou un cinéma à Paris. Ou il faudrait partir dès le matin et nous sommes bien trop lents et paresseux.)