Je suis allée travailler, par flemme d'aller chez le médecin et par conscience professionnelle: la période de clôture du bilan n'est pas le meilleur moment pour s'arrêter.
La difficulté, c'est surtout les transports en commun. La position assise et toutes les transitions, debout assis, assis debout, sont douloureuses. Il ne faut pas que je sois bousculée, je ne suis pas sûre de ne pas tomber.

Dès le lever, j'ai su que c'était fichu, j'avais encore trop mal: dans l'après-midi, j'ai envoyé un sms à Gwenaële pour dire que je ne pourrai pas faire la course samedi. La famille pousse un ouf de soulagement, ils n'ont pas compris je pense que je vise le week-end d'aviron du 1er avril… (pourvu que je puisse y aller). Je m'économise dans l'espoir d'avoir récupéré d'ici là. Dix jours. Cela sera-t-il suffisant?

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J. : accident de voiture.