9h acupunctrice. Il est un peu plus difficile de dormir alors qu'on vient de se lever…

10h30 La Défense. J'ouvre le courrier, je récupère les fichiers nécessaires au dossier pour l'ACPR (pour le 30 avril), je prends quelques documents, je fais attention à n'ouvrir aucun mail qui pourrait montrer que je suis là, je ne réponds à aucun coup de fil.

14h. Déjeuner à la brasserie en face avec H. qui me sert gentiment de chauffeur.
— J'ai eu OA au téléphone. Il me dit que si la boîte est à Paris, nous obtiendrons directement cinquante mille euros de la mairie de Paris. Avec ces cinquante mille, on prend des gens pour trouver des subventions à Bruxelles. On devrait obtenir un million et un prêt de la BPI.
(Je note ici pour avoir une trace de mon ahurissement. Ce projet n'aboutira peut-être jamais, mais s'il aboutit, j'aurai des dates, des lieux, sur sa progression concrèté.)

16h30 retour chez la doctoresse. Nouvel arrêt d'une semaine (pas plus : retour au travail vendredi prochain!). IRM, kiné (pour muscler le dos (je suis un peu surprise, je ne me considérais pas dans les peu musclées, mais après tout, va savoir, Charles. C'est toujours relatif)), prise de sang, anti-inflammatoire (ibuprofène 400 trois fois par jours): mais pourquoi avoir tant focalisé sur la douleur et ne pas s'être occupé plus tôt de soigner le fond? Je m'en fiche d'avoir mal, c'est juste fatigant et difficilement "exposable" en public.

Le soir, vers minuit, miracle : plus rien. Ni dos, ni jambes. L'ennui de devoir faire tous ces examens? L'ibuprofène? L'acupuncture?