J'écris dans le jardin avec mon merle préféré.

Pas grand chose à noter. J'ai décalé la réservation à Soglio, les horaires des TGV pour la Roche-sur-Yon, réservé pour Oberiberg. J'ai un vrai problème de concentration depuis le lumbago, j'oublie ce que je fais pendant que je le fais, je ne termine rien, il faut que j'écrive ce que je suis en train de faire pour que lorsque mon oeil tombe sur les lignes je me souvienne qu'il faut que je termine ce que j'ai noté.
Cela laisse un sentiment intense de vulnérabilité.
Perte de la mémoire immédiate ? Mais quel rapport avec le dos ?

Passé au club d'aviron mais pas ramé car ma combi n'était pas dans mon casier.
L'ACPR a réclamé les documents que je n'ai pas remis le 30 avril.
Je suis confirmée comme assesseur titulaire dimanche prochain.

Trouvé un blog intéressant en faisant une recherche sur la tour d'Hölderlin.

Les amis anti-Macron continuent sur leur lancée obsessionnelle. Ce n'est même plus amusant.
Je copie ici une remarque postée sur mon mur FB:
J.C.: Ça me fait penser que je ne "connais" que des vieux qui soutiennent Macron.
Tout à fait. De même que je ne connais que des anti-Macron "littéraires" (vive les étiquettes!) (proposition non réversible: tous les littéraires ne sont pas anti-Macron).

Je suis curieuse de voir ce que sera cette jeune femme dans vingt-cinq ans (elle aura alors mon âge actuel). C'est d'ailleurs pour cela que je copie cela ici. Pour confronter les réalités dans vingt-cinq ans, si je vis encore, si je blogue encore, si Macron n'est pas devenu Napoléon IV et que nous ne vivons pas sous Rodolphe Ier («à quoi ça sert, de bloguer?»)
Parce que bien entendu, s'il est devenu Napoléon IV, lui ou sa descendance (génétique ou adoptive (après tout, hein, si Eugène avait hérité de Napoléon…)) aura annihilé toute liberté d'expression et donc je ne pourrai plus bloguer.
Juin 2042. Ça paraît inatteignable. Qu'est-ce que le temps ?

Quand il fera nuit j'irai continuer devant Hunger Game III. Il paraît que c'est nul. Ce n'est pas grave, c'est simplement pour avoir un bruit de fond tandis que j'essaie de terminer le récit des jours en Toscane.