Je pars trop tard du bureau en répondant trop longtemps à GC sur FB (avant de m'apercevoir que c'est inutile et décider de ne plus répondre à rien) et je rate l'oulipo. Pizza sans Maurice et Elisabeth, retenus par la pataphysique.
Nous parlons entre autres du Petit Prince. Je le note car je suis surprise par la défense de ce conte par GEF. Pour moi cette une histoire niaise, trop insistante dans son désir d'être exemplaire.

Apprendre le braille : fondation Valentin Hauÿ.

GC continue ses délires. On dirait que la France va succomber demain, que nous sommes en grand danger, qu'une météorite va nous écraser. Son angoisse est palpable, c'est très étrange. Il a tant insisté pour que je lui réponde, mais bien sûr pour lui dire qu'il a raison, cela paraît si obsessionnel, que je lui ai proposé de l'appeler, en espérant que le "contact" des voix le ramènerait à la réalité. Le soir, j'envisage même d'aller le voir samedi à Tours, afin de faire le point. H. est déconcerté et hostile à l'idée, mais accepte le principe.



Le 25 juillet 2018 j'ajoute ici en clair ce que j'avais noté hors ligne à l'époque (donc en juin 2017) :
GC en est à émettre des ultimatums et des menaces (envoyés à moi: «prouve-moi que tu es de bonne foi sinon je…») et à insulter les gens (traiter d'ordure quelqu'un qui lui fait remarquer qu'il agit comme un troll). Il a tant insisté qu'un ami a supprimé à sa demande certains statuts sur FB. Cela ressemble tant à du JA: fatiguer les gens jusqu'à ce qu'ils se disent que ce n'est pas si grave de supprimer un billet ou un statut pour avoir la paix. Sauf qu'ils n'obtiennent pas la paix.
Je refuse de supprimer quoi que ce soit. Je ne laisserai pas GC devenir JA. J'ai toujours pensé que l'entourage de JA ne lui avait pas assez résisté. Pas péda.

25 juillet 2018 : Cela ne s'est pas amélioré. Aujourd'hui je l'ai bloqué sur twitter (en avril, je crois) puis sur FB peu de semaines après.