La seule occupation productive de la journée a été d'aller au marché. C'est l'un des arguments qui joue contre le fait d'interrompre l'aviron le week-end : j'arrête en me disant que je pourrais davantage travailler (ménage ou devoirs), en réalité je fainéante.
Cela fait du bien. Il est fort possible que je sois fatiguée, ou que j'ai besoin de rassembler mes forces avant de repartir.

Tenté de regardé Rocky. Je pensais que c'était le premier (je n'en ai jamais vu aucun et j'essaie de rattraper mon retard en matière de culture populaire) mais en fait c'était le dernier, Rocky Balboa, tellement ennuyeux que nous avons craqué au bout de vingt minutes.
Nous avons enchaîné sur Netflix avec le premier épisode de Grace et Frankie (un épisode, ça suffit), puis j'ai fini The Bounty Hunter, assez difficile à comprendre dans la mesure où il s'appuie sur des mécanismes judiciaires et des professions qui n'existent pas en France (le prêteur de caution, le chasseur de prime, etc.) Ce n'est pas très bon, mais je jouais à Candy Crush en même temps (quand je glande, je glande).

Apéro avec les voisins (les voisins, syntagme figé) qui ont sonné pour nous inviter chez eux et finalement sont restés chez nous.
Diagnostic définitif concernant la voiture de A. : réparations inutiles vu le prix de la voiture. Il nous faut lui en trouver une autre.

Le soir, je commence The Dressmaker qui me plaît beaucoup, entre recherche de la vérité, vengeance et histoire d'amour dans l'Australie toujours présentée comme la brousse absolue. Pas le temps de regarder la fin.