Anne, la rameuse que j'avais contacté le 29 décembre sur les conseils de JP m'envoie un SMS pour me dire qu'ils sont quelques-uns à ramer en huit le samedi, hommes et femmes mélangés, et à la réflexion elle n'a pas vraiment envie de casser cette chaleureuse ambiance.
Je crois qu'elle manque l'objet du huit que je propose : la compétition, une compétition, quelque chose avec un enjeu, autre chose que de simples sorties pour prendre l'air et transpirer. La perspective de forger une équipe dans l'effort.
Cela me faisait envie.

Donc mon lumbago m'a fait abandonner, Dominique m'a redonné espoir, Vincent m'a fait abandonner, Jean-Pierre m'a redonné espoir, Anne tend à nouveau à me faire abandonner… Je ne sais plus quoi faire.
Je vais en reparler à Jean-Pierre, suivre l'avis de Vincent en tentant de monter en huit toutes les fois où cela sera possible… et me mettre à faire mon CV : car c'est la perspective de ce huit qui me retenait de chercher un poste qui m'éloignerait de la Seine.
Si ce projet de huit ne prend pas forme, rien ne me retient à la Défense.