Je vois venir le moment où l'un des administrateurs de la mutuelle va m'obliger à accorder un passe-droit à un cadre supérieur, cadre auquel nous avons déjà dit non quatre fois et qui à chaque fois va plaider sa cause indéfendable auprès de quelqu'un d'autre. Dommage, il s'est adressé au trésorier, très sensible aux marques de pouvoir. Le président nous aurait fait confiance et aurait dit non.

Et comme ce cadre a une particule (et même deux: de machin de truc), toute la détestation des privilèges remonte dans mes veines plébéiennes.


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Je lis L'économie sacramentelle du salut et c'est passionnant (qui l'eut cru?).