Chaque année à Noël mon beau-père nous offre des places de théâtre à réserver via Cultival, et chaque année nous nous retrouvons vers le 20 décembre à devoir choisir une pièce en catastrophe avant la fin de validité des billets.

Nous avons donc choisi, un peu au hasard, un peu à cause des deux lignes d'introduction dans L'officiel des spectacles, Des pieds et des mains.
C'est une bonne pièce de boulevard, absurde et rythmée, avec une autruche (Clarence (c'est un mâle)), une superbe idiote (j'ai oublié son prénom: Dorothy?) et une impressionnante Miss Goebbels («Pas de lien de famille avec mon oncle le Dr Goebbels»).

Mais ce qui m'aura le plus frappée, finalement, c'est que depuis que j'ai parlé cannibalisme avec JYP (lui adoptant la thèse que l'interdiction de la viande de porc est destiné à prévenir le cannibalisme, moi rétorquant que cette thèse montre surtout les fantasmes et les peurs de ceux qui l'émettent), les histoires de cannibales pullulent autour de moi (je n'en dirai pas plus, j'ai déjà trop spoilé).